Publié le 18 Février 2022
Une écriture toujours aussi fluide et agréable. Les chapitres sont dynamiques et l’action monte crescendo.
Elle a lu Le sorcier blanc et Une fille en danger et elle m’a fait l’honneur de poursuivre avec Le temps des scarabées. Elle commence à bien connaître mon univers qui s’articule très souvent autour de deux thème : la science et le monde invisible.
"Après « Le sorcier blanc » et « Une fille en danger » , je découvre le dernier né de Cara Vitto.
Le roman démarre dans un décor très cartésien, celui de la micro-robotique. Julien jeune cadre très dynamique, amateur de surf va se retrouver embarqué suite à la mort plus ou moins bizarre de son meilleur ami, dans une aventure qui va le ramener à ses origines.
Il y a Albert son supérieur hiérarchique dans la start-up Drone-me-Up, où il travaille, ainsi que son collaborateur Jérôme, fervent défenseur de la cause écologique. Tous vont se retrouver confronter à la mort de Marc, l’ami de Julien. Sa mort aurait-elle un lien avec leurs recherches en cours ?
Suite à un grave accident de surf, où il a vu la mort de Marc, Julien souffre d’amnésie partielle et c’est auprès de la docteure Aguilar, psychiatre atypique qu’il va trouver le réconfort nécessaire à son mental.
Grâce à elle il va explorer ses souvenirs et rentrer dans un nouveau monde où le chamanisme a une grande place.
Un bon petit thriller, à la fois très cartésien mais aussi fantastique. Où l’auteur nous amène à réfléchir aux conséquences dramatiques de l’action de l’homme sur la nature, sur les perceptions que nous avons de nous même et de la nature. De l’exploitation de certaines technologies à des fins pas toujours très légales.
J’ai vraiment bien aimé ce paradoxe dans ce roman. Où l’on peut être à la fois très terre-à-terre et avoir des dons inexploités de notre nature profonde. Le roman s’articule entre ces deux thèmes.
Une écriture toujours aussi fluide et agréable. Les chapitres sont dynamiques et l’action monte crescendo.
Un grand merci à l’auteure pour ce partage de son dernier livre, j’y ai pris grand plaisir."
Un grand merci à Marijo pour ce retour de lecture
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