le sorcier blanc

Publié le 7 Mai 2018

Elle a aimé Une fille en danger et a continué l’aventure avec Le sorcier blanc. Un grand merci à Mariejo  pour ce retour de lecture !

Roman Le sorcier blanc de Cara Vitto

 

J'ai vraiment adoré cette lecture, Cara Vitto a une écriture dynamique, on a vraiment l'impression d'être immergé dans cet îlot qu'est la communauté expatriée en Afrique. Les us et coutumes, les traditions, les superstitions des locaux sont bien décrites et très vivantes.

Kymati

Retrouvez la chronique complète de Mariejo sur son blog ==> ICI

Le sorcier blanc vu par Mariejo

 

 

Retrouvez toutes les critiques du Sorcier blanc sur Babelio ==> ICI

Roman Le sorcier blanc dans Babelio

 

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Ils en parlent, #Le sorcier blanc

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Publié le 19 Janvier 2018

Cela faisait longtemps que je n’avais pas reçu un aussi beau commentaire. Merci beaucoup à celui ou celle qui l’a déposé sur la plateforme d’Amazon, il me va droit au cœur. Pour répondre à votre question, le tome 2 est prêt, il sera bientôt disponible !

 

Le sorcier blanc de Cara Vitto Commentaire Roman Thriller Aventure lecture

 

Le sorcier blanc. Le titre et l'illustration de couverture m'ont plu. Je me suis laissée tenter. Et j'ai adoré !!! J'ai dévoré ce livre sans voir le temps passer.
L'écriture est simple et directe. Les personnages sont incroyablement présents et vivants. On voit véritablement Coutard revenir à lui, l'énergie du Fou et la sérénité de Dieudonné. Même les personnages secondaires ont une épaisseur telle que le livre se déroule sous nos yeux comme un film...
L'expérience d'expat y est retranscrite avec bcp de justesse, dans ses excès, ses manques et ses douceurs. On se retrouve protégé au coeur de l'Afrique avec cette volonté farouche d'aider les deux petits lionceaux perdus...
Un grand moment d'émotion. Accompagnez le Sorcier Blanc... Vous vivrez une aventure aussi passionnante qu'exaltante.
A quand le tome 2 ?????? »

Amazon

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Ils en parlent, #Le sorcier blanc

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Publié le 6 Novembre 2017

Le sorcier blanc

 

Roman Le sorcier blanc

Afrique subsaharienne. Un ingénieur disparaît. Gérard Coutard s’infiltre dans le milieu expatrié pour mener l’enquête.

Mais dans la moiteur d’un pays où des rebelles menacent de tout dévaster, rien ne se déroule comme prévu : les rêves deviennent inquiétants, les esprits règnent en maîtres et le détective découvre que la sorcellerie se pratique couramment autour de lui.

Il n’aura alors qu’une obsession : sauver Isidore.

 

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Le sorcier blanc

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Publié le 10 Mai 2017

Merci au blog « Les avis de Georges » pour sa chronique du sorcier blanc.

Il dit avoir « …également beaucoup apprécié ce "voyage" en Afrique… » « Malgré le fait qu'il s'agisse d'un pays inexistant, j'avais vraiment l'impression d'y être, de tout connaître de l'Afrique qui pourtant m'était inconnue. ».

 

C’est l’occasion pour moi de revenir sur ce fameux pays : le Boutou. Il s’agit en effet d’un pays inexistant, inventé afin de me donner plus de liberté dans la rédaction de l’intrigue. Beaucoup d’entre vous auront compris que je me suis inspirée du Congo (Brazzaville), et que la ville de Kodipilou est en réalité Pointe-Noire. Je m’en suis tellement inspirée que j’ai dû inventer un pays et une ville imaginaire, car au moment où j’ai écrit et commencé à publier Le sorcier blanc, j’habitais encore à Pointe-Noire et comme 90% de ce qui est raconté dans ce livre est inspiré de faits réels, il n’aurait pas été exclu que je rencontre éventuellement quelques problèmes sur place… Donc, j’avoue avoir été un peu poltronne et je me suis réfugiée derrière le Boutou et Kodipilou.

 

Il y a également une autre raison : je voulais rester dans la fiction. Le sorcier blanc est avant tout un roman dont la vocation est de divertir et je ne voulais pas que les 10% inventés dans le livre viennent entacher la réalité du pays. On en revient à la problématique de l’auteur de fiction vis-à-vis de la réalité : il s’en inspire et il la déforme fatalement, au risque de fâcher et de contrarier ceux qui en ont une lecture littérale. Bref, j’espère malgré tout, à travers Le sorcier blanc, avoir reflété l’esprit du Congo et de ses mystères. Très bonne journée à tous !

Il faut se l'avouer, ce nouveau roman de Cara Vitto m'a carrément emballé. J'ai aimé retrouver cette plume fluide et prenante. J'ai également beaucoup apprécié ce "voyage" en Afrique que l'auteur nous propose. Malgré le fait qu'il s'agisse d'un pays inexistant, j'avais vraiment l'impression d'y être, de tout connaître de l'Afrique qui pourtant m'était inconnue. J'ai appris certains us et coutume de ces habitants, j'ai appris à les connaître, mais je n'ai pas eu le temps de faire du tourisme, vu que l'action omniprésente, ne s'essoufflait jamais. Les chapitres courts mettent du rythme dans l'histoire. C'est vraiment très plaisant à lire.
On ressent beaucoup d’émotions à la lecture de ce roman et même à la fin on est encore secoué. Au contraire du précédent roman, je n'ai pas boudé cette fin, elle m'a chamboulé, mais dans le bon sens du terme.
Comme le précédent tome, j'ai appris de nouvelles choses. J'adore ce genre de roman qui allie en même temps détente et savoir.
Allez, pas de secret entre nous, j'ai une nouvelle fois aimé ma lecture. Je confirme que c'est un auteur à suivre, qui je pense n'a pas encore terminé de nous proposer des dépaysements, que nous retrouverons j'espère dans ses prochains romans. Je vous invite vous aussi, à partir à la découverte de ce sorcier blanc. Ne vous inquiétez pas, vous ne risquez rien à part peut-être succombé à la plume addictive de l'auteur.

Les avis de Georges

Le sorcier blanc de Cara Vitto

 

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Publié le 10 Mai 2017

Merci au blog « Enjeux de mots » pour sa chronique du Sorcier blanc.

 

Retrouvez l’intégralité de la chronique è ici

Amateurs de voyage, de mysticisme et de fantastique, ce livre est fait pour vous.

Cet ouvrage est en effet riche des expériences d’expatriée de Cara en Afrique et permet de mettre la lumière sur les croyances et les mentalités africaines. Il est beaucoup question de rituels de magie et de sorcellerie pratiqués par les guérisseurs et sorciers. Et la précision des détails couplée à la maîtrise de la narration entraîne le lecteur dans une virée mystique et irrationnelle non dénuée de charme, avec comme décor l’Afrique superbe, ses couleurs, ses us et coutumes et son excentricité.

On suit donc les péripéties de Gérard Coutard qui est un ancien des services militaires spéciaux et que l’on a chargé d’infiltrer l’entreprise Piborgas en vue de mener l’enquête sur la disparition de l’un de ses jeunes collaborateurs, Isidore Blanchard. Avec l’intrigue qui prend forme, on découvre aussi la mort du fils de Gérard et les discussions que ce dernier entretient souvent avec le décédé. Les souvenirs qui lui reviennent et les détails qu’il se remémore nous plongent dans l’effroyable gouffre de la perte d’un enfant et de ce qu’elle représente pour un parent.

Malgré son apparence d’ours mal léché, le personnage principal est très attachant et résolument humain, haut en couleurs et guidé par son flair et ses intuitions dans une enquête bien particulière… On apprécie donc l’intrigue originale, bien ficelée et auréolée d’une touche de fantastique qui ne manquera pas de séduire les lecteurs, aussi bien que les cours chapitres où suspens et action se succèdent pour chasser toute forme d’ennui !

Enjeux de mots

Le sorcier blanc roman de Cara Vitto

 

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Publié le 13 Juillet 2016

Je suis très heureuse de vous annoncer que « Le sorcier blanc, une enquête de Gérard Coutard (T1) », rejoindra le 26 juillet 2016 le catalogue de la maison d‘édition Amazon Publishing.

Il était jusqu’à présent disponible en autoédition jusqu’à ce que l’éditeur de la maison d’édition Amazon Publishing me contacte et me propose d’intégrer le roman dans son catalogue.

La reconnaissance d’un éditeur est un événement important dans la vie d’un auteur aussi, je remercie chaleureusement Clément Monjou et Amazon Publishing pour cette publication.

Concrètement, qu’est ce que cela a changé ?

Le manuscrit a bénéficié d’une revue éditoriale complète, c’est à dire, le passage au crible du manuscrit par une correctrice.

Je dois admettre, avec une petite pointe de fierté, qu’il y avait très peu de coquilles. Il faut dire que j’avais harcelé sollicité mes fidèles, irréductibles, et néanmoins toujours amis bêta lecteurs dont certains sont de vrais champions en orthographe (encore un grand merci à mon père, mon oncle, ma sœur, ma cousine et tous les autres sans qui je n’y serais jamais arrivée….)

Mais une correctrice professionnelle ne se laisse pas amadouer aussi facilement par une troupe de joyeux amateurs. Mon texte avait beau être correct, il a tremblé sous les yeux acérés de la tueuse d’anomalies qui a déniché, non sans un certain sadisme, des infractions aux règles typographiques en usage à l’imprimerie nationale ainsi qu’au Petit Robert. Au pilori, les imperfections, irrégularités et autres ambiguïtés !

Pour vous donner exemple, le terme « ménagère » a été remplacé par « femme de ménage » car, si « ménagère » est couramment utilisé en Afrique, il désigne plus généralement « la femme de moins de moins de 50 ans qui s’occupe de son foyer » en France… Remarque hurlante de vérité, me direz-vous ? Et pourtant, aussi grossière que soit la confusion, il me paraissait parfaitement cohérent d’utiliser « ménagère » par rapport au contexte dans lequel je vivais au moment où j’ai écrit, réécrit, lu et relu Le sorcier blanc car il faut bien l’avouer, au bout d’un moment, plus rien n’est limpide ni logique quand on écrit un roman.

Après le texte, la couverture a été revue. L’équipe d’Amazon Publishing a planché sur le sujet et m’a proposée cette superbe image qui, je trouve, reflète parfaitement bien l’ambiance du roman.

Mais ce qui m’a le plus surprise, dans cette aventure, c’est la prise en considération respectueuse de mon point de vue sur les corrections à apporter ainsi que sur le choix de la couverture et de la quatrième. Il aurait été facile, après la signature du contrat qui transmet la propriété des droits du roman, de ne pas s’encombrer de l’avis de l’auteure occupée à écrire un autre roman. Tout au long du processus de la revue éditoriale, j’ai été sollicitée et j’ai véritablement pris part aux décisions de correction. J’en garde un souvenir très agréable et reconnaissant envers cette équipe chaleureuse.

Et ensuite ?

Gérard Coutard continue ses enquêtes bien sûr ! La DGSI a besoin de lui et aussi, une certaine Aléna…..

Le sorcier blanc, une enquête de Gérard Coutard

 

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Publié le 23 Janvier 2016

Roman le sorcier blanc de Cara Vitto

Il commanda un café allongé et scruta l’arrivée de Jean. Le serveur revint un peu plus tard, le plateau vide.

— Excusez-moi Monsieur, mais il n’y a pas de café.

— Ah. C’est bien embêtant pour un restaurant. Et pour moi aussi, répondit Gérard contrarié. Il avait du mal à croire qu’une denrée aussi indispensable puisse manquer. Il se rappela la formulation employée lors de la prise de commande : « un café allongé ». Le mot « allongé » avait dû embrouiller le serveur. Ce dernier ne devait pas savoir ce que c’était et n’avait pas osé le lui dire. Il changea sa stratégie :

— Vous n’avez pas de café du tout ?

— Non.

— Même pas un expresso ?

— Non.

— Qu’avez-vous comme boisson chaude ?

— Du thé.

L’homme n’était pas bavard et menaçait même de repartir sans prendre de commande. Gérard accepta le thé et vit au même instant Jean planté devant lui. Il venait d’arriver, quelques gouttes de sueur perlant de ses tempes et avec une respiration d’asthmatique en manque de traitement. Sa corpulence et son ventre proéminent ne cohabitaient pas favorablement avec le climat boutouanais. Il ne devait pas faire beaucoup de sport non plus. En lui serrant la main, Gérard aperçut deux grains de riz coincés dans sa barbe. Depuis combien de temps le chef de la sécurité ne s’était-il pas regardé dans un miroir ? Et à quand remontait sa dernière douche ?

Le sorcier blanc, p102

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Publié dans #Le sorcier blanc

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Publié le 22 Décembre 2015

Roman Le sorcier blanc de Cara Vitto

— Ça y est, tu as fait ton sac à tarte ? Qu’il est beau ! Montre-le ! s’exclama Régine.

— Vous avez vu ? C’est mon premier ouvrage de l’atelier couture, je suis trop contente. Elle se tourna vers Gérard :

— Antoinette. Bâtiment D, enchantée.

— Gérard, bâtiment F, ma femme adorerait votre sac, j’en suis certain. Mais à quoi ça sert exactement ?

— Et bien, si vous faites une tarte et que vous voulez la transporter, vous pouvez mettre votre plat directement dans le sac. Si vous êtes invité et que vous apportez la tarte par exemple, c’est pratique.

— En effet, répondit Gérard qui espérait paraître sincère. Il devait faire bonne figure afin de s’intégrer dans le milieu. Il avait autant envie de discuter avec ces femmes que de broder un manteau pour un caniche anglais, mais l’infiltration consistait à se fondre dans le paysage même s’il était composé d’une armée de tricoteuses. Le détective se sentait bien plus à l’aise avec les terroristes et, à choisir, il préférait une entrevue musclée avec un rebelle plutôt qu’un papotage avec une armée de teckels.

Le sorcier blanc, p94

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Publié le 11 Décembre 2015

Roman Le sorcier blanc de Cara Vitto

— Vous avez une grande famille ?

— Mais oui, Monsieur ! Vous avez déjà vu une petite famille au Boutou ? J’ai trois épouses, onze enfants, douze neveux et quatre sœurs à charge. Sans compter mes oncles, tantes, belles-mères et belles-sœurs qui ont besoin d’argent pour les médicaments, les soins ou pour payer l’école.

— Trois épouses ?

— Trois épouses et toujours vaillant ! Demandez donc à Micheline la dernière !

— Non ça va, je vous crois sur parole. Mais ils ne travaillent pas tous ces gens ?

— Mais si, ils travaillent. Ils s’occupent du village. Moi, je rapporte des billets.

Le sorcier blanc, p46

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Publié le 29 Novembre 2015

Roman Le sorcier blanc de Cara Vitto

« — Je cherche un ami : Isidore Blanchard. Savez-vous où il loge dans la résidence ?

— Actuellement, tous les célibataires logent dans le bâtiment F, comme vous présentement. C’est votre voisin de palier, au rez-de-chaussée.

— Dans le cahier, il est indiqué qu’il est parti à pied mercredi dernier. Il n’a pas de voiture ?

— Si, Monsieur Isidore est véhiculé : un Terrio noir immatriculé 467KW06. Mais son chariot est en panne et a été immobilisé sur l’aire de parking du site industriel. Il a recours à la solution taxi pour substituer la situation. Mais nous avons consigné une absence de mouvement depuis mercredi sur le registre. À l’accoutumée, on nous prévient en cas d’absence. Alors, que dois-je mettre sur l’écritoire ? Quand rentre-t-il ?

— Aucune idée. »

Le sorcier blanc, p30

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Publié dans #Le sorcier blanc

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