Je suis très heureuse de vous annoncer que « Le sorcier blanc, une enquête de Gérard Coutard (T1) », rejoindra le 26 juillet 2016 le catalogue de la maison d‘édition Amazon Publishing.
Il était jusqu’à présent disponible en autoédition jusqu’à ce que l’éditeur de la maison d’édition Amazon Publishing me contacte et me propose d’intégrer le roman dans son catalogue.
La reconnaissance d’un éditeur est un événement important dans la vie d’un auteur aussi, je remercie chaleureusement Clément Monjou et Amazon Publishing pour cette publication.
Concrètement, qu’est ce que cela a changé ?
Le manuscrit a bénéficié d’une revue éditoriale complète, c’est à dire, le passage au crible du manuscrit par une correctrice.
Je dois admettre, avec une petite pointe de fierté, qu’il y avait très peu de coquilles. Il faut dire que j’avais harcelé sollicité mes fidèles, irréductibles, et néanmoins toujours amis bêta lecteurs dont certains sont de vrais champions en orthographe (encore un grand merci à mon père, mon oncle, ma sœur, ma cousine et tous les autres sans qui je n’y serais jamais arrivée….)
Mais une correctrice professionnelle ne se laisse pas amadouer aussi facilement par une troupe de joyeux amateurs. Mon texte avait beau être correct, il a tremblé sous les yeux acérés de la tueuse d’anomalies qui a déniché, non sans un certain sadisme, des infractions aux règles typographiques en usage à l’imprimerie nationale ainsi qu’au Petit Robert. Au pilori, les imperfections, irrégularités et autres ambiguïtés !
Pour vous donner exemple, le terme « ménagère » a été remplacé par « femme de ménage » car, si « ménagère » est couramment utilisé en Afrique, il désigne plus généralement « la femme de moins de moins de 50 ans qui s’occupe de son foyer » en France… Remarque hurlante de vérité, me direz-vous ? Et pourtant, aussi grossière que soit la confusion, il me paraissait parfaitement cohérent d’utiliser « ménagère » par rapport au contexte dans lequel je vivais au moment où j’ai écrit, réécrit, lu et relu Le sorcier blanc car il faut bien l’avouer, au bout d’un moment, plus rien n’est limpide ni logique quand on écrit un roman.
Après le texte, la couverture a été revue. L’équipe d’Amazon Publishing a planché sur le sujet et m’a proposée cette superbe image qui, je trouve, reflète parfaitement bien l’ambiance du roman.
Mais ce qui m’a le plus surprise, dans cette aventure, c’est la prise en considération respectueuse de mon point de vue sur les corrections à apporter ainsi que sur le choix de la couverture et de la quatrième. Il aurait été facile, après la signature du contrat qui transmet la propriété des droits du roman, de ne pas s’encombrer de l’avis de l’auteure occupée à écrire un autre roman. Tout au long du processus de la revue éditoriale, j’ai été sollicitée et j’ai véritablement pris part aux décisions de correction. J’en garde un souvenir très agréable et reconnaissant envers cette équipe chaleureuse.
Et ensuite ?
Gérard Coutard continue ses enquêtes bien sûr ! La DGSI a besoin de lui et aussi, une certaine Aléna…..