le sorcier blanc

Publié le 22 Novembre 2015

Bénédicte Froger-Deslis
Bénédicte Froger-Deslis

Elle a lu Le sorcier blanc et m’a envoyé ses corrections : 23 pages d’explications, d’accents circonflexes ajoutés (j’en ai corrigé des « brûlés »… ), de virgules ajoutées, supprimés, de coquilles torpillées. Elle défend le vrai français, le beau, le littéraire, celui qui donne envie d’écrire et de lire…merci Bénédice Froger ! J’ai mis du temps à apporter les corrections, mais ça en valait la peine ! Je peux maintenant offrir une version sans coquilles du Sorcier blanc.

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Publié dans #Le sorcier blanc

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Publié le 6 Juillet 2015

Roman Le sorcier blanc

« J'ai lu ce livre avec délice. »

« J'ai lu ce livre avec délice. le rythme est bon et soutenu, l'histoire nous dépeint une Afrique que l'on soupçonne mais n'ose pas imaginer. le mélange du monde moderne capitaliste, où la fraude t la manipulation règne avec le monde souterrain des sorciers est vertigineux. J'ai adoré ce livre et je le recommande. »

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Publié le 24 Juin 2015

Roman Le sorcier blanc de Cara Vitto

4.0 étoiles sur 5 sympathique roman

« Lecteur "élément 119" je me suis mis à lire ce livre confiant et je n'ai pas ete déçu. L'ecriture est simple, rythmée. Les personnages sont attachants, l'histoire type thriller fantastique vous happe dès la première page. a lire absolument. »

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Publié le 19 Juin 2015

Roman Le sorcier blanc de Cara Vitto

Cela faisait plusieurs mois que l’idée me trottait dans la tête : changer la couverture du Sorcier blanc, l’éclaircir, la rendre plus représentative du roman. Je trouvais qu’une part d’ombre un peu trop inquiétante dominait le visuel. Même si l’histoire se situe dans la catégorie thriller / enquête policière / fantastique, le roman n’en demeure pas moins optimiste et drôle. Je ne pouvais laisser un tel malentendu subsister.

J’ai donc, une fois de plus, fait appel à mon graphiste préféré : David de Kouverture.com, et une fois de plus, je ne le regrette pas.

Mon idée de départ était très précise : j’avais dans la tête l’image d’un homme marchant de dos dans une allée de baobabs et se dirigeant vers un gigantesque coucher de soleil.

L’intrigue du Sorcier blanc se situe en Afrique et qu’y a-t-il de plus représentatif de la nature africaine qu’un baobab ?

Mais il faut bien que je vous l’avoue : Gérard Coutard n’a pas croisé beaucoup de baobabs au cours de son enquête à Kodipilou. Le Boutou a beau être un pays imaginaire, il a très fortement été inspiré par le Congo qui se caractérise surtout par sa forêt primaire : compact, dense, mystérieuse... Si vous lisez Le sorcier blanc, vous en aurez un petit aperçu.

Et puisque j’en suis aux révélations, allez, je me fais plaisir, pour moi et pour ceux qui connaissent le Congo-Brazzaville : voici la liste des endroits visités par Gérard : Kodipilou = Pointe-Noire, Le Rivage bleu = Côte sauvage, Le ponton = Le derrick, le supermarché Carshop = park’N shop, la balayette joyeuse = le balai magique (société de nettoyage), Toutpourvous = Alloservice (société d’entretien), d’autres auront aussi reconnu la clinique et ses redoutables bancs en bois, la sortie de l’école française avec sa myriade de 4X4 désordonnés, la route sortant de la ville…

Mais tout ceci nous éloigne de la couverture, revenons à nos baobabs.

Je voulais que l’homme de dos ressemble à Gérard Coutard, c’est-à-dire un homme approchant la cinquantaine, en imperméable avec un chapeau sur la tête, un peu comme l’inspecteur Colombo. J’ai fouillé sur internet pour trouver des images d’une telle silhouette, mais ma recherche était tellement précise que je n’ai bien sûr, rien trouvé. Et je ne pouvais quand même pas mettre Colombo sur ma couverture ! Qu’à cela ne tienne : j’avais ce qu’il fallait sous la main : un mari, un appareil photo, un imperméable, un chapeau…. Comme tout auteur autoédité qui se respecte, j’ai fait avec les moyens du bord !

J’ai donc envoyé à David la photo d’un homme (mon mari !) de dos, et je lui ai soumis l’idée de l’homme dans une allée de baobabs se dirigeant vers un somptueux coucher de soleil.

Puis, j’ai attendu fébrilement qu’il m’envoie ses trois propositions, comme il le fait habituellement.

David m’a tout de suite dit qu’il avait une préférence pour la première. À première vue, je la trouvais magnifique. Mais un doute me submergea : j’avais depuis plusieurs mois une image tellement précise d’un homme marchant de dos que je ne pouvais me détacher de la photo n°2 qui se rapprochait davantage de ma conception initiale, sans pour autant y coller totalement.

J’ai fait un petit sondage sur Facebook (je remercie au passage tous ceux qui ont répondu, les amis autoédités, les lecteurs et tous les autres). Les réponses m’ont déconcertée : la n° 2 est ressortie victorieuse… Pour autant, elle ne me convenait pas, je n’arrivais pas à retrouver l’ambiance des couchers de soleil africains avec ces rouges si intenses et son ciel envoutant. Il aurait fallu changer l’intégralité des couleurs de l’image ce qui revenait à la modifier totalement.

J’ai demandé à David s’il était possible d’appliquer les reflets rouges du soleil rasant sur la silhouette de Gérard ainsi que sur les arbres, mais il m’a expliqué que ce n’était pas cohérent : on ne pouvait pas avoir un coucher de soleil au fond, et au premier plan ses reflets….. À moins d’avoir deux soleils. Le lecteur aurait décelé, même inconsciemment, cette anomalie, et flairant l’arnaque, serait passé au livre d’a côté.

Bref j’étais dans une confusion totale.

C’est alors que David m’a rappelé que dans les maisons d’édition, le choix de la couverture n’appartenait pas forcément à l’auteur qui était trop impliqué dans son manuscrit. Il m’a aussi dit que la couverture numéro 1 était celle qu’il jugeait être la meilleure, celle qui attire le plus le regard, celle qui reste la plus vendeuse auprès du public qui ne connaît ni le livre, ni auteur.

Il est vrai que pour aboutir à une couverture de livre acceptable, il faut parvenir à se détacher de son bébé ! Il faut aussi se mettre à la place du public qui ne connaît pas le roman, et encore moins l’auteur.

Pourquoi un lecteur s’arrête sur une couverture plutôt qu’une autre ? Personne ne le sait vraiment, à part quelques professionnels de l’édition et quelques graphistes...

J’en parlais dans mon article « Écrire et autoéditer un premier roman » la décision d‘achat se forme essentiellement sur deux critères : la couverture et la quatrième de couverture…il s’agit donc de soigner ces deux éléments..et de faire confiance à son graphiste !

Il m’a fallu plusieurs joggings, parties de foot avec mon fils et balades en vélo avec ma fille pour me détacher de l’image, finalement pas si précise que ça (puisqu’incohérente), que j’avais imaginée.

Et, en regardant à nouveau les trois propositions de David, j’ai réalisé que la couverture numéro 1 était en effet, celle qui correspondait le mieux au roman : j’avais l’homme de dos, le coucher de soleil africain, le rêve et le mystère symbolisé par le mouvement des oiseaux… C’était parfait.

Merci à tous pour votre participation et bravos à David pour son travail et ses précieux conseils.

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Publié le 5 Novembre 2014

Au 21e siècle, les mails traversent la planète en quelques secondes, mais les bateaux de marchandises mettent toujours autant de temps pour traverser les océans….. Voilà quatre mois que je suis partie du Congo, mais mon déménagement n’arrive que maintenant ! Quatre mois de navigation, d’entreposage dans les ports, de formalités douanières….. Heureusement, j’ai retrouvé l’intégralité de mes affaires sans trop de dommage.

J’ai ainsi redécouvert les masques et les statues africaines acquis au fil de mon séjour à Pointe-Noire. Ce qui m’a le plus frappé, c’est l’odeur de bois fumé qui est ressorti du carton fraîchement ouvert. Et moi qui pensais que l’odeur avait disparu bien avant mon départ…. C‘est que la plupart de ces objets ont une histoire : ils proviennent de la brousse où ils ont été utilisés pour divers usages.

J’entends certains d’entre vous se dire : « elle devrait faire attention, qui sait si un sorcier n’aurait pas laissé un peu de magie dans ces objets ». Telle a été la réaction de beaucoup de mes amis, pourtant très cartésiens, à la vue de ma collection de masques accrochés au mur du salon…. Comme quoi, la sorcellerie n’effraie pas que les Africains !

J’aime particulièrement la statue qui illustre la couverture du roman Le sorcier blanc car c’est un porte-bonheur qui accompagne le voyageur. L’intérieur de son ventre cache la magie déposée secrètement par le Nganga (le bon sorcier) afin de protéger son propriétaire. Le miroir collé au milieu repousse le mauvais œil. Elle est recouverte de terre, de sable incrusté et d’autres éléments indéfinissables. Cette statue a certainement été utilisée puis abandonnée après usage.

Jean Nzoho, l’auteur de « Facettes de la culture congolaise » vous en parlerait beaucoup mieux que moi. J’espère qu’il parviendra à éditer prochainement son ebook, car le livre est passionnant. D’ailleurs, je n’aurais jamais pu écrire le roman Le sorcier blanc sans avoir assisté à ses conférences.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui, je me remets doucement des derniers cartons reçus et des températures en chute libre.

Ne rêvez pas de statue africaine et portez-vous bien.

Et voici les copains d'Isidore

Bon d'accord, celle là fait un peu peur

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Publié dans #Humeur, #Le sorcier blanc

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Publié le 18 Août 2014

Les tribulations d'une lectrice

Merci au blog Les tribulations d’une lectrice pour sa chronique du sorcier blanc

Quel bonheur de retrouver la plume de l’auteure. Une fois les premières pages tournées, j’ai eu beaucoup de mal à reposer ce roman. Dès le prologue, on se retrouve plongé dans une enquête mêlant une touche de fantastique. L’intrigue qui tourne autour Isidore est très agréable et originale. Elle tient le lecteur en haleine et, à aucun moment on n’a le temps de s’ennuyer. Quel suspense !

En plus de l’action, Cara Vitto a réussi à donner un rythme supplémentaire à ce roman grâce à ses courts chapitres.



Au niveau des personnages, je me suis très vite attachée à Gérard et j’ai aimé enquêter avec lui. J’ai eu l’impression de me retrouver en Afrique avec lui et j’ai beaucoup apprécié les descriptions faites par l’auteur. On sent qu’elle y a vécu et qu’elle s’est inspirée de situations réelles.



Au cours de ma lecture, je n’avais pas vraiment pensé à la fin donc je ne savais pas du tout où l’auteure allait m’emmener mais je n’ai pas été déçue, j’ai trouvé cette finale magnifique.



Bref, si vous aimez les intrigues prenantes avec une touche de fantastique et les voyages, ce roman est fait pour vous.

Les tribulations d'une lectrice

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Publié le 13 Août 2014

Le sang des livres

Merci au blog Le sang des livres pour sa chronique du sorcier blanc.

Ce fût une belle lecture mais remplie de beaucoup d’émotions. C’est une histoire qui m’a fait rire et attristée en même temps. J’ai beaucoup aimé l’histoire et la façon dont l’auteur écrit.

http://lesangdeslivres.blogspot.fr/2014/07/le-sorcier-blanc-de-cara-vitto.html?m=1

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Publié le 23 Juillet 2014

Cannibalecteur

Le temps passe, les déménagements s’éternisent et je prends du retard dans mes posts…heureusement que les chroniqueurs sont plus sérieux… Je remercie Céline de Cannibalecteur pour sa lecture et sa chronique du sorcier blanc.

Allez sur son blog, lisez, découvrez, vibrez, n’attendez pas !

Une fois de plus, j’ai été enchantée par cette lecture. Cara Vitto décrit l’univers où se déroule l’histoire avec brio, ce qui permet au lecteur d’effectuer plusieurs kilomètres et de se retrouver en Afrique en un claquement de doigt.

J’ai beaucoup aimé l’histoire et son dénouement. Comme dans son précédent roman, Cara Vitto sait parfaitement mélanger le réel et le fantastique afin de créer un univers enchanteur qui lui est propre.

Je vous recommande vivement la lecture de ce roman.

http://www.cannibalecteur.com/le-sorcier-blanc-de-cara-vitto/

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Publié le 8 Juillet 2014

Je lis en numérique et j'adore

Merci au blog Je lis en numérique et j’adore pour sa chronique du sorcier blanc. 

Gérard Coutard, talentueux négociateur doit partir en Afrique pour élucider la disparition mystérieuse d'un jeune employé français d'une compagnie pétrolière. Coutard est un ancien militaire qui est hanté par la mort accidentelle de son fils. Il doit enquêter parmi les Africains et des expatriés français travaillant pour cette compagnie. Son investigation l'amènera à vivre beaucoup d'aventures et à découvrir bien des mystères. La sorcellerie africaine l'aidera à élucider ses questionnements sur ses rêves et à dévoiler des secrets.

Le personnage principal, Gérard Coutard est attachant dès le départ. C'est avec sympathie que nous le suivons dans son enquête et dans sa quête personnelle. J'ai adoré la fin de l'histoire avec sa note philosophique

Le Sorcier blanc m'a fait vivre beaucoup d'émotions dans divers genres d'écriture : polar, surnaturel et même un brin ésotérique. À un moment, j'ai retrouvé le plaisir que j'avais eu adolescente à lire du Carlos Castaneda et son chaman. L'auteure, Carla Vitto nous a mijoté une belle soupe magique avec un fond de réalisme sur la culture africaine, les tenions raciales, l'activisme politique (rebelles) etc. Des éléments très bien agencés pour sentir l'Afrique actuelle et pénétrer dans ses racines.

Plus qu'un polar, le Sorcier blanc creuse dans l'inconscient et l'imaginaire. Une très belle histoire écrite avec intelligence et talent à lire absolument.... Bravo Cara et merci !

Je lis en numérique et j'adore

Et en plus d’être chroniqueuse littéraire, Sylvie écrit aussi des livres à dévorer sans modération:

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Publié le 2 Juillet 2014

L'île aux livres

Merci à Nathalie Maugué du blog L’île aux livres, les lectures de Kynicky pour sa chronique du sorcier blanc.

Allez voir ce qu’elle pense du roman ICI

Vous trouverez sur son blog une multitude de chroniques sur une large sélection de romans, le tout classé par catégorie ou par auteur. Avec les lectures de Kynicky, vous avez de quoi trouver des idées pour sélectionner votre prochain roman. N’hésitez pas, les blogueurs littéraires sont de très bons conseils !

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