Le monde perdu

Publié le 30 Octobre 2017

Comme c’est les vacances, je me suis intéressée à un classique que mes enfants liront bientôt : Le monde perdu de Arthur Conan Doyle. C’est toujours un grand bonheur de découvrir l’imagination fertile et l’humour truculent des grands auteurs qui ont marqué la fin du 19e et début du 20e siècle. J’adore ces récits imaginaires relatant des découvertes extraordinaires et je n’ai pas pu m’empêcher de repenser au Voyage au centre de la Terre de Victor Hugo que j’ai relu lors des dernières vacances (à chaque vacance, un classique, et hop ! je vais être au top quand mes enfants entreront au collège).

Le monde perdu

 

J’ai trouvé beaucoup de points communs entre ces deux œuvres : la motivation initiale du protagoniste qui passe par l’amour d’une jeune femme et qui le pousse à se lancer dans une aventure incroyable, le fait que le protagoniste soit l’observateur d’un scientifique aussi talentueux qu’excentrique et bien sûr, autre point commun : le voyage vers l’extraordinaire.

Le voyage au centre de la Terre a été écrit en 1864, Le monde perdu en 1912. 48 ans séparent ces deux œuvres, mais elles partagent la même passion de la découverte scientifique et de l’imaginaire.

J’ai bien évidemment adoré ces deux romans, mais j’avoue être plus sensible à la plume de Jules Verne. Peut-être parce que je partage avec l’auteur la même langue et la même culture et que ses récits sont tellement ancrés dans nos mémoires et nos inconscients collectifs qu’ils traversent les générations avec la même flamme… Il me tarde de redécouvrir tous ces classiques qui ont marqué mon enfance. J’ai déjà réservé mon classique pour Noel : Vendredi ou la vie sauvage de Michel Tournier…vivement Noel !

Très bonnes lectures à tous et bonnes vacances!

Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Lire

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