Publié le 1 Janvier 2018

Qu’elle soit douce et palpitante à la fois !

J’ai trouvé un cheval sauvage et il est d’accord avec moi pour la première résolution : partir à  l’aventure et explorer des mondes inconnus. 

Lire, écrire, peindre, l’année sera terrible !

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Humeur

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Publié le 1 Janvier 2018

Il a toujours fait partie de mon univers et je réalise en le relisant à quel point il est ancré dans mon imaginaire. J’avais fait le même constat avec les romans de Jules Verne que je redécouvre avec délice depuis quelques mois : les décors, les ambiances et les personnages paraissent si familiers et proches…

Et encore une sphère… que d’histoires gravitent autour de cette forme/objet source d’inspiration prodigieuse !

La nuit des temps

Le thème d’une civilisation disparue reste fascinant. Après tout, l’histoire nous apprend que la plupart des civilisations se sont éteintes et que la nôtre se situe plutôt en fin de cycle …. Finirons-nous comme les habitants de Gondas ? D’une intelligence supérieure, ils se sont néanmoins laissés engloutir par la guerre. Mais étaient-ce vraiment des humains puisqu’ils sont apparus bien avant les premiers hommes ?

Dans ce monde lointain, une bombe s’apprête à tout anéantir. Eléa et Païkan, deux individus dotés d’un amour pur et parfait l’un pour l’autre, traversent une tragédie déchirante et vivent leurs derniers instants. La scène d’amour sur fond d’apocalypse est d’une force poétique particulièrement puissante et renvoie à l’image de l’amour pur et universel résistant face aux forces sombres et au chaos.

Mais cela en fait aussi un roman assez pessimiste : dans ce monde peuplé d’êtres d’une intelligence supérieure, l’amour parfait existe, mais persiste également, le besoin de destruction et de domination qui conduira Gondawa et Enisoraï à se défier et à se détruire.

Seul l’amour, trahi, battu, envié, jalousé, volé, aussi bien dans leur monde que dans le nôtre, parvient à subsister…. dans la mort.

J’avais oublié à quel point ce roman est magnifique, mais néanmoins très pessimiste sur l’évolution de l’homme et de sa bêtise… à lire et à relire…jusqu’à la nuit des temps (elle était facile, celle-là J)

 

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Lire

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Publié le 22 Décembre 2017

Une micro nouvelle, ça vous dit ? Moins de 8.000 caractères, espaces compris, ça fait 5 minutes de lecture. Je me suis laissée tenter par l’écriture de cette petite histoire dans un genre tout à fait nouveau pour moi : l’imaginaire. Je ne m’y attendais pas, j’ai ADORÉ !

micro nouvelle - science fiction - imaginaire - concours prix imaginarium 2017 short édition - Cara Vitto - Manuela dans la brume

Photo par la NASA sur Unsplash

Manuela dans la brume

Autour de moi, une brume de kouracrite. Je ne vois rien. Rien que de longues volutes d’écumes légèrement bleutées dodelinant sur la roche laiteuse. Ailleurs, tout n’est que brouillard aveuglant et fumée phosphorescente. Manuela est accrochée à mon bras, elle hurle des mots que je ne comprends pas. Je suis encore sonné par l’explosion. À ses gestes secs et nerveux, je comprends : mon masque de silicar est perforé, il m’en faut un autre, vite ! Je tire sur la poignée rouge accrochée à ma combinaison et une coque encercle immédiatement mon visage de sa protection cristalline. Je peux respirer sans me brûler l’intérieur de la gorge, à présent. L’écran du nouveau masque s’allume et je vois Manuela me fixer de son regard perçant des situations d’urgence.

— T’es connecté ?

— C’est bon, j’ai branché le commutoire.

— On va bondir jusqu’au vanSpace. On a été propulsé à trois kilomètres. Pas le temps pour la marche autonome. On a déstabilisé une grosse poche de gaz. Ça va sauter dans cinq minutes. Je branche les propulsars pédestres pour des bonds de cinq mètres, c’est bon pour toi ?

J’acquiesce en hochant la tête. La dernière explosion nous avait projetés comme deux poussières ridicules en dehors de la crevasse. Nous ne résisterons pas à la prochaine. Je suis tellement hébété que je ne sais même pas si je suis allé au bout de l’extraction de la plus prodigieuse et époustouflante boule de kouracrite jamais repérée. La poisse.

— C’est pas vrai ! T’as la jambe paralysée ! T’as rien senti ? Bon, on se solidarise et je branche le propulsar en mode secouriste.

Un voile de silicar se forme aussitôt sur le côté droit de ma combinaison et se soude sur le gauche de Manuela. Nous sommes accrochés des pieds jusqu’aux épaules, prêts à bondir comme une seule bête à trois pattes. Je sens le silicar s’infiltrer le long de ma jambe inerte et s’enrouler autour de celle de Manuela. L’attelle est en place. On n’a jamais eu aussi peu de temps, mais on y arrivera, comme d’habitude.

Tout de suite après la panique, une émotion inattendue apparaît, aussi forte qu’un coup de grisou. Elle surgit de l’intérieur de mes organes : c’est la chaleur de Manuela, pressée contre moi, qui se transforme en un désir brûlant puis en une violente envie de sentir sa chair contre la mienne. Une urgence, encore plus forte que la peur de mourir.

Soudain, la brume s’intensifie, elle devient matière, dense, presque confortable, comme un lit de silicar haut de gamme, comme mon lit, dans l’appartement de la tour Mirma, avec sa vue incroyable sur la ville et sur le Parlement.

Manuela est une géofouineuse talentueuse. Elle dénicherait une boule de kouracrite dans les jardins du Parlement s’il le fallait ! Et comme je maîtrise l’art de m’infiltrer dans les crevasses les plus exiguës, nous formons une des équipes d’extracteurs les plus performantes de Firmi. Comment est-ce que j’aurais pu deviner ce qui allait se passer….

— Bon, tu te réveilles maintenant Charlou !

La brume blanche disparaît. À la place, l’intérieur du vanSpace. C’est beaucoup plus sombre. Plus net aussi. Qu’est-ce qui s’est passé ? J’ai dû perdre connaissance. Manuela n’a pas activé la décoration d’ambiance. Elle est toute seule aux commandes, pas le temps avec le confort. C’est la première fois que découvre l’habitacle du vanSpace brut, sans couleur. C’est pas mal, aussi. Sans fioriture.

Manuela quitte la voie interStellar et rejoint la speedSpace. Elle va pouvoir se brancher en mode automatique, relâcher les manettes et enfin, revenir vers moi. Elle souffle et défait sa combinaison. Ses cheveux auburns scintillent de mille reflets orange. D’un léger mouvement de tête, elle fait voleter ses mèches soyeuses en dégageant son cou et son décolleté si fin et délicat. Je voudrais la prendre dans mes bras, là, maintenant, tout de suite, caresser sa peau de velours et sentir l’odeur de son parfum caché derrière ses cheveux.

— Qu’est ce que t’as foutu, Charlou ? T’avais pas vu la poche de gaz ?

Bien sûr. L’extraction. L‘explosion. Nous sommes vivants. Manuela m’a sauvé. Encore une fois. Je fouille ma poche fébrilement. Si au moins, j’avais le kouracrite, elle serait un peu moins en colère.

— Je l’ai ! Et t’as vu la grosseur ! Incroyable ! Notre plus belle prise. Ça valait le coup, non ?

— T’as encore oublié de mettre tes gants.

— Pas grave.

— Si c’est grave ! Tu m’emmerdes à faire ce que tu veux, quand tu veux, sans écouter les autres ! Bon sang, t’es pas tout seul, Charlou ! Le kouracrite te contamine ! Alors, bordel, fais gaffe !

J’enlève ma combinaison, embarrassé, et m’installe à ses côtés. J’ai du mal à supporter son regard accusateur. Je plonge dans sa colère et découvre encore une nouvelle émotion. Je crève d’envie de l’embrasser.

— Qu’est-ce qui s’est passé hier, Manuela ?

— On ne doit en parler à personne, Charlou, à personne !

— C’était…incroyable, non ?

— Mais enfin, Charlou…. Je ne sais pas si tu réalises….tu aurais pu m’en parler, me prévenir, je suis ta coéquipière tout de même, tu aurais pu me faire confiance. Quand est-ce que tu as commencé à te transformer en homme ?

— Dix mois. Peut-être un an. Tu avais remarqué quelque chose avant…avant hier ?

— Remarqué ou pas, ça ne change pas le problème. C’est à cause des gants, hein ? C’est le contact avec le kouracrite qui provoque cette transformation ? Bon, en tout cas, il faut arrêter, Charlou, c’est trop dangereux.

— Mais Manuela, hier, c’était extraordinaire, à couper le souffle ! Je n’avais jamais ressenti une chose pareille. Et toi non plus, je l’ai bien vu. Tu te rends compte, ça existe vraiment, ce truc qu’on raconte dans les mythes, ce feu d’artifice entre deux corps. C’est pas une histoire, c’est pour de vrai !

— Mais c’est interdit ! Tu deviens un homme, Charlou ! Un homme ! Si on le découvre, tu seras abattu sur le champ !

— Pas de transformation sur la planète Firmi, je sais.

— Si les Cuirassons t’attrapent, ils nous tueront tous les deux, toi pour la transformation et moi pour avoir été ta complice. Sauf si tu arrêtes de toucher du kouracrite et que tu redeviennes comme avant.

— Autant me dénoncer tout de suite et te trouver une autre équipière ! C’est trop fort ce que nous vivons, comment pourrait-on s’en passer ? Non, Manuela, écoute, j’y ai réfléchi toute la nuit, c’est un peu fou, un peu insensé, mais…et si on partait ? Si on allait vivre sur une autre planète ?

— Donc, devenir des fugitifs recherchés par le Parlement.  

— Mais c’est quoi ce speedSpace, Manuela ? Je ne reconnais pas ce chemin. On dirait la voie pour le désert de Nogi. On se rapproche de la caserne des Cuirassons, non ?

Une alarme stridente retentit dans le vanSpace. Elle vient d’en haut. Le toit de silicar se fait transparent et laisse apparaître un BombarSpace impressionnant. Deux Cuirassons en sortent. Ils s’avancent, droits dans leur bulle de silicar et l’un deux commence à fusionner son silicar avec le toit de notre vanSpace pour le traverser.

— Qu’est-ce que tu as fait Manuela ?

Ma bien-aimée est livide. Son regard multicolore cherche désespérément quelque chose par terre, des mots qu’elle n’arrive pas à me dire.

— Je savais, Charlou. Je savais tout. Depuis le début.  

— Tu m’as trahi ?!

Le Cuirasson est presque à l’intérieur. Il descend et quitte sa bulle de silicar en me regardant. Il n’y a aucune émotion dans ses yeux.

— C’est lui, là ? Charlou ? Bon, allez, on y va.

— Comment as-tu pu me faire ça, Manuela ? Pourtant, j’étais persuadé, hier…

Manuela fouille nerveusement dans sa poche et en sort une petite boule de kouracrite qu’elle donne aussitôt au Cuirasson.

— Une boule de 250. Comme convenu. Maintenant, tu désactives nos deux identités des tablettes du Parlement.

Le Cuirasson attrape la boule, la fourre dans sa poche et se met à pianoter sur son bras en le montrant à Manuela. Puis, il repart, l’air satisfait et renfrogné à la fois.

— Je savais, Charlou. Je savais tout. Bien avant toi. Et il faut croire que je suis amoureuse depuis bien plus longtemps que toi.

 

 

La Nouvelle participe au concours du prix imaginarium 2017 (ouvert jusqu’au 7 janvier). Si vous l’aimez, vous pouvez voter pour elle, et/ou lire/liker les nouvelles des autres participants. Elles en valent toutes la peine !  

Si vous voulez voter ==> c'est par ici (à la fin de la nouvelle)

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Écrire et publier

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Publié le 12 Décembre 2017

La semaine dernière, tout s’est passé en quelques heures : après le déjeuner, je découvre l’existence des Master Class organisées par Bernard Werber, je m’aperçois dans la foulée que le module 1 est prévu le samedi suivant et que Noël est dans 15 jours. Le soir, je dis à mon mari : «  tiens, tu sais quoi, j’ai bien envie de prendre un billet d’avion pour aller à la Master Class de Bernard Werber samedi. Bon, ça m’embête de te laisser tout seul gérer notre samedi marathon, les invitations anniversaires des enfants, les trajets aux cours de percussion, d’échec, d’équitation, de tennis, ah oui et il y a aussi le rendez-vous chez le médecin pour la petite à ne pas oublier, les cadeaux de noël, les courses, les 6 machines en retard et le frigo vide, bref, j’hésite. En même temps, c’est pas comme si tu sortais d’une grippe et d’un déplacement dans la jungle birmane avec une morsure de serpent et une piqûre d’un moustique douteux contaminé par le palu, hein ?, alors, je me tâte, je ne sais pas si je vais y aller, finalement.»

Je pensais avoir été très drôle et je m’attendais à le voir pâlir en se demandant si j’allais vraiment lui faire ce coup bas, mais non seulement il n’a pas ri (bon, ça, j’ai un peu l’habitude, l’essentiel de mes blagues font un plat en retombant…), mais je l’ai vu prendre son ordinateur et me réserver aussi sec un aller-retour Pau/Paris….

Sac Cara Vitto en route pour les master class de Bernard Werber

Les bras m’en sont tombés… et j’en ai beaucoup, ça fait du bruit. Mon mari, ce super héros des temps modernes m’offrait ma journée pour ce rendez-vous exceptionnel et allait déployer, lui aussi, ses nombreux bras pour s’occuper en solo de notre marmaille hyperactive à l’agenda extravagant. Je me suis retrouvée comme une gamine qui apprend qu’elle va rencontrer le père Noël ! J’allais assister à la master class de Bernard Werber, LE Bernard Werber, pour de vrai !

Alors j’ai préparé mon sac avec mes carnets, le gris pour mes notes perso,  le noir pour celles de la journée et ma lecture en cours : le roman Subutex qui je le confirme, est assez Rock’n Roll.

En route pour les master class de Bernard Werber sous un ciel bleu

 

Le sceau des sorcières de Jacques Vandroux aux galeries Lafayettes Paris

 

Je garde de la journée un souvenir intense et une foultitude de détails. L’avion à 6h du matin, j’avais presque oublié à quoi ressemblait cette sensation de partir, l’aéroport, la nostalgie du terminal E2 et de ses vols pour Pointe-Noire, le ciel incroyablement bleu, le livre de Jacques Vandroux en tête de gondole du rayon Policier des Galeries Lafayette (un modèle à suivre pour tous les indés, Bravo Jacques !), un hélicoptère, ah oui, c’est vrai Johnny est mort, le métro et enfin Les feux de la rampe, lieu de notre rendez-vous. Des gens attendent, je me range dans la queue, bien sagement et Bernard Werber arrive. Il y a beaucoup de circulation, son assistante est en retard, la faute à Johnny, mais tout le monde s’en fiche, du moment que la salle est ouverte, même si le son ne fonctionne pas ou que la lumière est aveuglante, on prend place, le plus près possible de la scène pour ne pas perdre une miette de la Master Class qui commence.

master class de Bernard Werber

 

Le voyage a duré 4h. Nous avons tous imaginé une île, notre île, dans laquelle nous nous sommes réfugiés pour écrire et qui sert de point de départ à l’aventure.

La mienne est presque ronde, un peu comme un grain de beauté. Elle est recouverte d’une forêt tropicale peuplée d’oiseaux et d’animaux étranges. Au sommet d’une petite colline, face à l’horizon et protégé par des bambous : ma maison. Tournée vers l’océan, un bureau, un ordinateur, des feuilles, un stylo, un vent léger qui adoucit la chaleur ...le bonheur.

Retour aux Feux de la rampe. Nous commençons les exercices : écrire à la manière des nanofactions, c’est à dire un texte court avec un début, un milieu et une fin sur un sujet. Je vous assure que l’exercice est difficile ! Ensuite, chacun peut lire ce qu’il a écrit.

Je me suis lancée, j’ai lu un de mes textes qui après coup, m’est apparu plutôt confus avec une notion de début et de fin assez approximative. Heureusement qu’il y avait le milieu ! J’ai compris à quel point il était important de structurer l’histoire et d’avoir son sujet et son thème dès le début.

Pendant la séance, j’ai été bluffée par la lecture de certains participants qui arrivaient, en quelques minutes, à pondre un texte aussi beau dans la forme que dans le fond. Il paraît qu’un espace sera dédié pour déposer, lire, commenter les nouvelles écrites par les participants des master class. Il me tarde de les lire !

Nous avons abordé ainsi le thème, le sujet, le personnage, le héros, le suspens, le fantastique, le début, la chute et bien d’autres choses encore.

La journée s’est terminée avec une formidable envie d’écrire. Moi qui hésitais à commencer la rédaction d’un nouveau roman, me voilà motivée ! Mon mari va sûrement râler (il paraît que je suis dans la lune quand j’écris, limite obsédée), mais en même temps, c’était son cadeau de Noël, alors, je prends ça pour un encouragement.

De retour dans le Béarn, toute la maisonnée dormait paisiblement. Il n’y avait pas de spaghetti à la sauce bolognaise collée sur les murs de la cuisine, pas de chaussette mouillée oubliée sous le canapé ou de billet de Monopoly coincé au-dessus d’un tableau accroché au mur. Tout était calme et rangé. Aucune marque susceptible de trahir un éventuel moment de débordement n’était visible.

Le lendemain, j’apprenais que la journée marathon du samedi s’était déroulée sans couac. Pas d’enfant oublié dans le supermarché ou à un cours de percussion, tous les rendez-vous assurés à l’heure, les cadeaux donnés pour les anniversaires, ceux récupérés discrètement pour noël… quelle bonne nouvelle, je vais pouvoir recommencer pour la session 2 ! J’espère seulement que ce jour-là, une autre idole ne partira pas en nous laissant le cœur gros et des embouteillages monstres dans Paris.

Très bonne journée à tous !

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Écrire et publier

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Publié le 7 Décembre 2017

 

En mode peinture… pause bien-être créatif. Si le résultat est incertain (je vous montrerai plus tard), le plaisir de laisser la couleur s’exprimer et les couches se superposer est toujours au top.

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Peindre

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Publié le 6 Décembre 2017

Cara Vitto

Bonjour à tous ! À l’approche de Noël, je vous propose de découvrir mon univers et mes romans. Si vous êtes en panne d’idées cadeaux, vous trouverez peut-être votre bonheur ! J

 

Le sorcier blanc

Afrique subsaharienne. Isidore, jeune collaborateur d’une grande compagnie pétrolière disparaît mystérieusement. On demande au négociateur Gérard Coutard, ancien des forces spéciales de mener l’enquête en s’infiltrant dans le milieu expatrié.

Mais dans la moiteur de la ville de Kodipilou, rien ne se déroule comme prévu. Les rêves deviennent inquiétants, les esprits règnent en maîtres et le détective se heurte rapidement à la pratique de la sorcellerie couramment utilisée dans cette partie du monde.

Pourquoi Isidore a-t-il disparu ? Que veulent les ravisseurs ? Pourquoi n’y a-t-il pas de demande de rançon ? Et pourquoi Gérard se sent-il si proche du jeune disparu ? Autant de questions qui feront basculer l’enquête dans une dimension inattendue et qui confortera Gérard dans son obsession : sauver Isidore.

L’élément 119

La mer du Nord, à bord d’une plateforme pétrolière installée dans la partie la plus hostile de la mer du Nord. Philippe de Carjaval, géologue de renommée internationale est sollicité pour ses connaissances des roches en eaux profondes. Jamais un pétrolier n’avait osé s’attaquer à un forage aussi périlleux : le gisement se situe à une profondeur jamais atteinte par l’homme. 
Mais rien ne ressemble à un chantier ordinaire : la plateforme est trop loin des côtes, la distance à creuser pour atteindre la poche d’hydrocarbure est démesurée et une énigme scientifique hors du commun semble le concerner lui, personnellement... Comment une roche inconnue totalement sphérique peut elle se retrouver à cinq mille mètres sous le niveau de la mer ? Pourquoi le scientifique semble être le seul à distinguer des sillons sur le relevé des sonars ? Et surtout, comment survivre plusieurs jours à bord de la plateforme pétrolière la plus gigantesque au monde sans somnifère ?
Commence alors pour Philippe une longue et éprouvante recherche qui le mènera très loin de ses certitudes. 

 

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Humeur

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Publié le 24 Novembre 2017

On l’a toujours avec soi, on y note toutes sortes de confidences, d’idées, de remarques entendues ça ou là, de sensations rencontrées lors de situations banales ou inattendues et au bout d’un moment, on se rend compte que toutes les pages sont remplies… alors, on en rachète un autre, tout neuf, tout vide qui ne demande qu’à être gribouillé, raturé et dessiné de partout.

Les petits de carnets de Cara Vitto

 

C’est toujours très agréable de dénicher son nouveau carnet. J’adore choisir la nouvelle couleur, la nouvelle forme, même la texture est importante, comme si ces éléments allaient préfigurer de ce qui allait m’arriver dans le futur et de ce que j’allais écrire.

Mes deux derniers carnets étaient vert et jaune, aussi pétants l’un que l’autre. Pour le nouveau, j’ai choisi un format plus grand, car je me sentais un peu à l’étroit et une couleur un peu plus sobre, plus calme aussi…. L’écriture de mon dernier roman m’aurait-elle rendue un peu trop nerveuse ?

J’ai donc commencé ce nouveau carnet gris pâle et j’adore ce format plus large avec ces pages toutes douces. C’est un régal. J’y note, comme d’habitude, toutes sortes d’idées bizarres, et parmi elles, deux histoires rivalisent sérieusement : une nouvelle enquête de Gérard Coutard ou une fiction qui se déroule dans un monde totalement futuriste...  À suivre

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Rédigé par Cara Vitto

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Publié le 20 Novembre 2017

Écrire, c'est réécrire

 

Je ne sais même plus combien de fois j’ai réécrit ce manuscrit….

J’ai entendu Pierre Lemaître dire qu’il avait réécrit le premier chapitre d’un de ses livres 21 fois. Ça m’a un peu remonté le moral.

Ensuite, j’ai relu les conseils de Stephen King Il dit : manuscrit réécrit = première version - 10%. On enlève tout ce qui ne concerne pas l’histoire.

Oups, alors là, ça ne va pas du tout ! J’ai fait l’inverse : le roman a augmenté d’au moins 10%….mais en étant toujours dans l’histoire. C’est grave docteur ? Je sens que je vais encore passer quelques nuits blanches.

 

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Rédigé par Cara Vitto

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Publié le 20 Novembre 2017

Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier

 

L’écriture est forcément belle (prix Nobel de littérature 2014), l’émotion surgit au détour d’une phrase ou d’un paragraphe, mais je n’ai pas réussi à plonger dans le roman. Peut-être parce que l’oubli a fini par grignoter l’histoire au point de n’en laisser que des fragments un peu trop épars à mon goût…

« Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier » reste, bien évidemment une belle œuvre écrite par un auteur talentueux.

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Rédigé par Cara Vitto

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Publié le 6 Novembre 2017

Le sorcier blanc

 

Roman Le sorcier blanc

Afrique subsaharienne. Un ingénieur disparaît. Gérard Coutard s’infiltre dans le milieu expatrié pour mener l’enquête.

Mais dans la moiteur d’un pays où des rebelles menacent de tout dévaster, rien ne se déroule comme prévu : les rêves deviennent inquiétants, les esprits règnent en maîtres et le détective découvre que la sorcellerie se pratique couramment autour de lui.

Il n’aura alors qu’une obsession : sauver Isidore.

 

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Rédigé par Cara Vitto

Publié dans #Le sorcier blanc

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